J.W. Burleson photo / Boquillas del Carmen, Coah.

Tuesday, June 28, 2016

1949 Ford F1 in the other Brookl(y)n

The truck was spotted in Bushwick by Isabelle Chapman. I like this edition of Ford F1 in any language & have posted them everywhere from West Texas to Nova Scotia, 
Isabelle has translated three of my novels so far. The French translations mean more to me than any other because I can read French, so I know how great Isabelle's work is, and what a powerfully creative endeavor literary translation can be. Carry Me, my third novel, came out in US & Canada this spring (you can get signed US First editions at Blue Hill Books or Betsy's Sunflower; signed Canadian firsts at Paragraphe Bookstore (Montreal) or Ben McNally Books (Toronto)). Isabelle's translation will appear in 2017-- published in Paris by Editions Philippe-Rey, et á Montreal par Editions XYZ.

from La Loi des Reves review in Le Figaro
"...Peter Behrens parvient, jusqu'au bout, à garder le même souffle, le même lyrisme incantatoire, et à faire partager sa compassion et son respect pour un héros qui, endurci par les épreuves, finit par devenir un homme. Sans illusions, mais toujours déterminé.La Loi des rêves de Peter Behrens traduit de l'anglais par Isabelle Chapman" (buy it here)

from Les O'Brien review in Cafe-Powell
"...Nous faisant voyager de la Californie à New York, en passant par Montreal, Les O’Brien est un roman jubilatoire comme on en voit peu : Joe O’Brien, la figure majeure du récit, est un personnage complexe, en apparence fort, ambitieux et travailleur, en réalité profondément marqué par son passé misérable. Toute sa vie, il aura quelque chose à prouver. Il n’arrivera jamais à passer outre les failles profondes qu’ont laissé son enfance, incarnées par le personnage de Mike, son beau-père alcoolique et lubrique, qu’il battit comme plâtre quand il apprit qu’il tripotait ses jeunes sœurs. Le souvenir de ce violoniste obsessionnel, qui pouvait jouer des jours durant, sera diabolisé avec le temps, symbolisant toute la misère et la violence de l’enfance de Joe dans le Pontiac. Joe, presque volontairement, deviendra à son tour alcoolique, mettant alors en péril sa famille.
Les O’Brien est un roman fleuve d’une rare intensité. On le quitte un peu triste, comme lorsque l’on laisse des amis qu’on sait ne jamais revoir." (buy it here)
From Dennis Bock's review of Carry Me in New York Times Book Review  "...Behrens captures his narrator’s naïveté and the casual anti-Semitism of the times with great skill and intelligence . . . as true an observation about human nature as there is."




1 comment:

  1. I think this is a 50 or 51 - the chrome trim on the hood is different than the 49.

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